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Équipe de rétablissement de l’éperlan arc-en-ciel du sud de l’estuaire du Saint-Laurent

ComitéEspèces menacées ou vulnérables

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Année(s) de réalisation

Depuis 2000 (en continu)

Financement

Partenaire(s)

ORGANISMES MEMBRES DE L’ÉQUIPE

  • Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
  • Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation
  • Association des pêcheurs d’éperlans de la rivière Rimouski
  • Comité ZIP du Sud-de-l’Estuaire
  • Organisme de bassins versants de Kamouraska, l’Islet et Rivière-du-Loup
  • Organisme des bassins versants de la Côte-du-Sud
  • Organisme des bassins versants du Nord-Est du Bas-Saint-Laurent
  • Pêches et Océans Canada
  • Université du Québec à Chicoutimi

Description du projet

Depuis 2005, l’éperlan arc-en-ciel du sud de l’estuaire du Saint-Laurent est considéré comme une espèce vulnérable. La population de ce petit poisson a, en effet, chuté considérablement au cours des 30 dernières années. La pollution organique d’origine agricole, l’érosion des berges, la sédimentation, ainsi que la pression exercée par les pêches sportive et commerciale auraient contribué à ce déclin.

L’aire de répartition actuelle de l’éperlan arc-en-ciel du sud de l’estuaire s’étend de Matane à Lévis. Les zones de fraie connues sont les suivantes : ruisseau de l’Église, rivières du Sud, Ouelle, Kamouraska, Fouquette et du Loup, hauts fonds situés dans le fleuve en amont de Beaumont. Les rivières Boyer (comté de Bellechasse) et la rivière Trois-Pistoles sont d’anciens lieux de fraie qui ont été désertés. L’évolution de cette espèce de poissons est un bioindicateur de la santé du fleuve et des rivières qu’il choisit pour sa reproduction ou qu’il a cessé de fréquenter.

Créée au tournant des années 2000 et composée de 14 personnes (ministères et organismes du milieu), l’Équipe de rétablissement de l’éperlan arc-en-ciel du sud de l’estuaire du Saint-Laurent travaille au rétablissement de cette espèce dans son aire de répartition. Son rôle consiste à élaborer et à mettre en œuvre un plan de rétablissement qui identifie, notamment, les mesures à prendre et les suivis nécessaires pour favoriser la croissance de la population de l’éperlan arc-en-ciel. Elle s’efforce également de sensibiliser divers secteurs d’activité (agriculture, municipalités, associations de pêcheurs, etc.) à l’importance de la qualité de l’eau pour le maintien de la biodiversité et la sauvegarde des espèces en difficulté.

Plan de rétablissement 2019-2029

Enjeux et problématiques ciblés

• Diminution de la population de l’éperlan-arc-en-ciel, sud de l’estuaire du Saint-Laurent
• Dégradation de l’habitat de l’espèce et des frayères
• Bioindicateur de la santé du fleuve et des rivières
• Impacts de la pollution d’origine agricole, domestique ou industrielle sur la qualité de l’eau
et sur la biodiversité

Résultats

Consulter le bilans des plans de rétablissement :

2008

2019

 

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